Rabbi Chimon, à Miron, le jour de Lag Ba'omer : la porte de toutes les Yechouot, la clé de tous les espoirs, le conduit de toutes les requêtes.
לכל אחד יש ימים כאלו, שבהם הוא צריך סיעתא דשמיא מיוחדת. ימים כאלו, אם היתה לו אפשרות היה הופך בעצמו את העולם, וצועק מקברי אבות. מהיום זה אפשרי, בכל שעה שתחפוץ, בכל יום שתצטרך, הרם טלפון לקופת העיר, תרום 500 ש"ח, העבר את השם ואת הבקשה האישית, והשליחים יצאו דחופים עבורך ויסעו ללא שהיות, בו ביום, לשבעת המקומות הקדושים והמסוגלים ביותר בארץ ישראל.
La Kamya de Rabbi Yéhouda Pétaya Za’’l Par le mérite de la Tsédaka, assurez-vous une protection pour chaque jour de l’année à venir. Faites un don de 78 euros par mois pendant 12 mois où 936 euros et recevez un cadeau exceptionnel : La Kamya qui aide dans chaque domaine, comme l’a affirmé le cabaliste Rav David Batsri.
Rabbi Elimélekh Biderman donne une bénédiction rare et spéciale : « Quiconque réjouira par une somme de 320 shékels les fiancés qui se marient à présent, mesure pour mesure, D. lui donnera la plus grande joie qu’il espère. »
Alors que nous sommes tous encore sous le coup de cette disparition,nos Grands Maitres nous indiquent que faire Faire un don au fond établi à Koupat Ha’ir pour l’élévation de son âme. Ce fond est destiné à faire progresser les jeunes gens dans la Torah et la crainte du Ciel, ce qu’il désirait profondément toute sa vie
Soyez bénis par nos Grands Maitres au moment propice de l'allumage des lampes de 'Hanouka
Une Segoula révélée par le Gadol Hador Rav A. Y. L. Steinmann: 271 prieres au Kotel pendant les huit jours de 'Hanouka, jours propices à la Parnassa et au mariage.
Lundi 9 Kislev, 27 Novembre, Le 9ème jour du 9ème mois, entre 12:41 et 12:50 Heurs française et 13:41 et 13:50 heure israélienne qui est d'après toutes les Chitot la 9ème heure, Ne renoncez à aucune prière qui peut vous apporter la Yéchoua!
Tous nos Grands Maitres ! C’est inimaginable ! Tous iront pendant quarante jours demander ce qui nous tient le plus à cœur.
Notre Maitre Rav Chimon Galay chlita : « Quiconque fera un don de 260 chéquels pour les 26 orphelins se mariant au mois de Tévèt et ayant besoin d’une grande aide, méritera avec l’aide de D., mesure pour mesure, d’élever et de marier tous ses enfants dans la bonne santé et la joie. »
Chaque veille de Roch ‘Hodech, Koupat Ha’ir prendra contact avec vous pour savoir s’il est encore nécessaire que les envoyés de Koupat Ha’ir prient pour vous sur la tombe à Amouka.
Rabbi Chimon, à Miron, le jour de Lag Ba'omer : la porte de toutes les Yechouot, la clé de tous les espoirs, le conduit de toutes les requêtes.
לכל אחד יש ימים כאלו, שבהם הוא צריך סיעתא דשמיא מיוחדת. ימים כאלו, אם היתה לו אפשרות היה הופך בעצמו את העולם, וצועק מקברי אבות. מהיום זה אפשרי, בכל שעה שתחפוץ, בכל יום שתצטרך, הרם טלפון לקופת העיר, תרום 500 ש"ח, העבר את השם ואת הבקשה האישית, והשליחים יצאו דחופים עבורך ויסעו ללא שהיות, בו ביום, לשבעת המקומות הקדושים והמסוגלים ביותר בארץ ישראל.
La Kamya de Rabbi Yéhouda Pétaya Za’’l Par le mérite de la Tsédaka, assurez-vous une protection pour chaque jour de l’année à venir. Faites un don de 78 euros par mois pendant 12 mois où 936 euros et recevez un cadeau exceptionnel : La Kamya qui aide dans chaque domaine, comme l’a affirmé le cabaliste Rav David Batsri.
Rabbi Elimélekh Biderman donne une bénédiction rare et spéciale : « Quiconque réjouira par une somme de 320 shékels les fiancés qui se marient à présent, mesure pour mesure, D. lui donnera la plus grande joie qu’il espère. »
Alors que nous sommes tous encore sous le coup de cette disparition,nos Grands Maitres nous indiquent que faire Faire un don au fond établi à Koupat Ha’ir pour l’élévation de son âme. Ce fond est destiné à faire progresser les jeunes gens dans la Torah et la crainte du Ciel, ce qu’il désirait profondément toute sa vie
Soyez bénis par nos Grands Maitres au moment propice de l'allumage des lampes de 'Hanouka
Une Segoula révélée par le Gadol Hador Rav A. Y. L. Steinmann: 271 prieres au Kotel pendant les huit jours de 'Hanouka, jours propices à la Parnassa et au mariage.
Lundi 9 Kislev, 27 Novembre, Le 9ème jour du 9ème mois, entre 12:41 et 12:50 Heurs française et 13:41 et 13:50 heure israélienne qui est d'après toutes les Chitot la 9ème heure, Ne renoncez à aucune prière qui peut vous apporter la Yéchoua!
Tous nos Grands Maitres ! C’est inimaginable ! Tous iront pendant quarante jours demander ce qui nous tient le plus à cœur.
Notre Maitre Rav Chimon Galay chlita : « Quiconque fera un don de 260 chéquels pour les 26 orphelins se mariant au mois de Tévèt et ayant besoin d’une grande aide, méritera avec l’aide de D., mesure pour mesure, d’élever et de marier tous ses enfants dans la bonne santé et la joie. »
Chaque veille de Roch ‘Hodech, Koupat Ha’ir prendra contact avec vous pour savoir s’il est encore nécessaire que les envoyés de Koupat Ha’ir prient pour vous sur la tombe à Amouka.
paniers alimentaires
pour les Fêtes
veuves et orphelins
aidées chaque mois
soins dentaires
par mois
familles soutenues
chaque mois
Ces cas tragiques ont été sélectionnés parmi des milliers en raison de la gravité de leur situation désespérée. Votre contribution leur sera versée en intégralité.
Cette fois, il n’y aura personne qui ne donnera pas les 250 shekels à Koupat Ha’ir pour le projet Kim’ha Depiss’ha. Cette fois, il n’y aura personne qui pourra rester indifférent devant cette promesse, d’une part parce que nous voyons que c’est ce que Rabbi ‘Haïm demande, d’autre part parce que personne n’est disposé à perdre cette bénédiction de « fêter Pessa’h dans la largesse et la facilité, spirituellement et matériellement ».
Rav ‘Haïm Kaniewsky : « Les tsaddikim sont plus grands après leur mort que durant leur vie. Notre Maitre [Rav Steinman] זצלל"ה interviendra certainement et priera au ciel que se réalise sa bénédiction aux donateurs de l’Appel des orphelins de Chevat afin qu’ils soient bénis par des enfants, la vie et la subsistance, davantage que ce qu’il a intervenu et prié sur terre. Et j’ajoute à cela ma bénédiction. »
Cette fois, il n’y aura personne qui ne donnera pas les 250 shekels à Koupat Ha’ir pour le projet Kim’ha Depiss’ha. Cette fois, il n’y aura personne qui pourra rester indifférent devant cette promesse, d’une part parce que nous voyons que c’est ce que Rabbi ‘Haïm demande, d’autre part parce que personne n’est disposé à perdre cette bénédiction de « fêter Pessa’h dans la largesse et la facilité, spirituellement et matériellement ».
Rav ‘Haïm Kaniewsky : « Les tsaddikim sont plus grands après leur mort que durant leur vie. Notre Maitre [Rav Steinman] זצלל"ה interviendra certainement et priera au ciel que se réalise sa bénédiction aux donateurs de l’Appel des orphelins de Chevat afin qu’ils soient bénis par des enfants, la vie et la subsistance, davantage que ce qu’il a intervenu et prié sur terre. Et j’ajoute à cela ma bénédiction. »
Prière collective de nos Grands Maitres Pourim 5777
Parachat Hamman
מרן הגר"ח קניבסקי מדליק נר חנוכה
Le Rav Kanievsly lors de l'allumage de 'Hanoucca
Le Tsadik Rav Shimon Gallay à la maison de la Chounamite
« Ecoute-moi, dit Bentsion, le responsable des colis alimentaires de Koupat Ha’ir. Il faut qu’on se décide. Nous perdons du temps.
lire la suite:« Et n’oublie pas d’apporter le verre en or ! » Moché n’allait sûrement pas oublier. Son épouse Minda le lui rappelle malgré tout car ce verre est une partie si importante de la soirée qu’il est impossible de sortir de chez eux sans le mentionner.
lire la suite:« En été ? Jamais de la vie ! Que D. en préserve ! Il ne viendrait pas à l’esprit d’emmener une famille en Amérique en été ! » La réponse sans équivoque du Gaon Rav Steinman laisse son disciple perplexe.
lire la suite:Maman, ce n’est pas la fracture ! » intervient Chaoul au milieu de la conversation téléphonique de sa mère avec sa grand-mère. « Ce n’est pas la fracture ! Je te le dis ! Après qu’ils aient plâtré ma jambe, les douleurs n’étaient pas aussi terribles que celles-ci.
lire la suite:« Ah ! Bonjour ! N’est-ce pas toi qui étais en même temps que moi à la maternité, le 9 Av ? » Malka sent la main posée sur son bras et lève la tête des copies qu’elle est en train de corriger dans le bus.
lire la suite:« Quel retard ! soupire Ruth en s’asseyant dans le bus. Quand même ! Un vendredi après-midi ! Attendre l’autobus trois quart d’heure ! Si la compagnie de bus n’arrive pas à faire face à la demande, qu’on ajoute une concurrente !
lire la suite:Yaël regarde sa mère d’un air désespéré. Sa mère regarde Yaël d’un air tout aussi désespéré. Toutes les deux se trouvent à la caisse, après avoir fait passer tous leurs achats sur le tapis roulant.
lire la suite:« Il y a quelque chose dans cette blancheur éclatante ! dit David en aspirant à pleins poumons. Il y a quelque chose de propre, de frais, de pur ! »
lire la suite:Il n’y a aucune chance » dit Yaacov à Sarah. Ils sont assis dans la cuisine. Sur la table sont posés les documents qui viennent d’arriver dans une grande enveloppe blanche portant le cachet du tribunal.
lire la suite:« A la mer! A la mer! On veut la mer! » Les enfants Nathan savent très bien jouer sur les cordes sentimentales de leurs parents. Après avoir passé toute la journée en excursion à Acco et les environs.
lire la suite:Les efforts des dernières heures portent leurs fruits : la maison brille, les enfants sont vêtus de leurs habits de fête, la soucca est construite et décorée.
lire la suite:« Je pense que nous faisons fausse route, dit Myriam en regardant par la fenêtre de la voiture. – C’est ce que tu crois toujours, répond Avraham sans se démonter.
lire la suite:« Je ne peux même pas répéter ce que le médecin m’a dit » sanglote Yaacov au téléphone. Devant sa femme et ses enfants, il devait rester fort, mais lorsqu’il s’enferme dans son bureau pour parler à son Rav en Israël, sa voix se brise.
lire la suite:« Enfin, mon frère se marie ! soupire Sarah, l’aînée de la famille. Je ne sais pas comment mes parents arrivent à traverser cette période de stress pour chacun de leurs enfants ! »
lire la suite:« Qu’est-ce qu’il se passe pour l’immeuble, Jacques ? » Cette fois, Chantal lance la question avec une impatience non dissimulée. Combien de fois peut-on rappeler la même chose ?
lire la suite:La famille F. est une famille juive non religieuse, presque assimilée. Le père et la mère sont des personnes honorables et connues dans leur lieu d’habitation, une ville touristique suisse pittoresque dans les montagnes.
lire la suite:« Une minute, ma chérie » dit Chochana en courant vers la cuisine. Elle mit rapidement de l’eau à bouillir. « Dans quelques instants, tu auras ton biberon ».
lire la suite:« Tu vas bientôt te fiancer, dit sa mère avec une gaité qui tente d’être sincère. Ce sont tes derniers jours de célibat. Profite-en ! Profite de ta liberté ! Pourquoi être toujours préoccupée par des soucis ?
lire la suite:« Moché, toi qui est tellement distrait… Donne moi l’argent. Il vaut mieux que ce soit moi qui le garde. » Naomi regarde autour d’elle et sent l’angoisse l’étouffer progressivement. Dans quelques minutes, ils doivent monter pour embarquer.
lire la suite:« Avraham ! » La mère élève presque la voix pour le gronder mais quelque chose la retient. Avraham a vraiment l’air mal en point. « Qu’est-ce que tu as, Avraham ? »
lire la suite:« Bonjour, Myriam ! Comme je suis contente de te voir ! » Myriam rougit. Cela fait trois jours seulement qu’elle s’est fiancée et elle se sent encore gênée en présence de sa future belle-mère, la mère de son fiancé.
lire la suite:David n’était pas venu en Israël depuis son mariage. A plusieurs reprises, il avait pensé faire ses bagages et prendre l’avion mais son projet ne s’était jamais concrétisé.
lire la suite:« Vous êtes sûrs ? Je crois qu’il s’agit d’une erreur ! » M. P. était surpris, déconcerté. Il avait l’intention de se rendre en Erets Israël pour quelques jours, de participer à plusieurs événements importants et de régler certaines affaires.
lire la suite:« Tu l’entends, Maman ? Elle pleure ! Ecoute bien. C’est ta première petite-fille ! » Il écarta son portable de son oreille pour que les pleurs délicats de son nouveau-né soient entendus de l’autre côté de la ligne, en France.
lire la suite:Tout s’est arrangé parce que je n’ai pas fait de don. Ce titre est certes quelque peu provocateur, je le sais. Ce n’est pas tout à fait juste, mais ce n’est pas très loin de la vérité. Ecoutez mon histoire, et décidez vousmêmes
lire la suite:Il existe des gens grands qui sont prêts à révéler des périodes difficiles et douloureuses de leur vie dans le seul but d’encourager les autres à donner la charité. Qu’ils en soient ici remerciés
lire la suite:« Viens, partons, David, dit Hanna. Il est vrai que la route ne prend que deux heures et que chabbat ne commence que dans cinq heures. Mais je voudrais que nous arrivions tôt, que nous ayons le temps de nous organiser et même de nous reposer un peu.
lire la suite:Disparu!« Je pense que quatre boites de sauce tomate nous suffiront pour le mois, dit Rachel à ses enfants. Il faut attendre un peu entre une boite et l’autre chez nous.
lire la suite:Le taxi roule rapidement en se frayant un chemin parmi les voitures. En cette fin de soirée, Jérusalem se prépare au sommeil. Les marchands lavent à grande eau leur stand au marché, les gens garent leur voiture sur le côté et rentrent chez eux.
lire la suite:Le médecin les mesure de son regard : un jeune père, une femme plus jeune encore, un bébé. Et à un moment si difficile… « Il faudrait mieux que vous disiez à votre femme de rentrer chez elle pour s’occuper du bébé
lire la suite:Dans chaque foyer, il existe certains jours avant Pessah où il semble que le désordre ne disparaîtra jamais. Où qu’on regarde, on ne voit que chiffons, détergents, objets divers qu’on ne sait où poser.
lire la suite:C. est directeur d’un héder privé (école de garçons) dans une ville d’Israël. En tant que responsable d’une institution, il lui incombe de partir souvent à l’étranger pour recueillir des fonds.
lire la suite:B. s’apprête à se rendre au dispensaire pour faire administrer à son bébé le vaccin nécessaire. Oui, nécessaire, mais pas très plaisant. Comme toutes les mamans, son coeur se serre à chaque fois.
lire la suite:On est le 14 Nissan après-midi, veille de Pessa’h. La famille M. a déjà terminé de réciter la bircat ha’hama, de manger le ‘hamets et de brûler le reste. La mère de famille a même fini de faire les valises.
lire la suite:Chez les M., les pansements posés sur les yeux sont quelque chose de tout à fait habituel. Lorsqu’ils se sont rendu compte que leur fils aîné avait des problèmes de strabisme
lire la suite:Devant Sarah se trouvait une femme gaie qui balançait une poussette. Ses enfants, filles et garçons, gambadaient autour d’elle, criaient et riaient. Ils jouaient à cache-cache autour de leur mère et de Sarah.
lire la suite:La famille D. de Bnei Brak se rend chez ses parents à Ramot, Jérusalem, pour le Chabbat Hagadol, le chabbat qui précède Pessah. Ils montent dans le bus n°402 avec leurs bagages...
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